Page 14 - La Gatineau 4 janvier 2018
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14 4 janvier 2018 La Gatineau
Des raquettes de l’an 2000
 LA GATINEAU - Pour sortir des sentiers battus, l’être humain utilise la raquette pour se frayer un chemin dans la neige. Mais les bonnes «vielles chaussettes» ont évolué et il semble que la pratique soit en hausse au cours des cinq dernières années.
Les baby-boomers de la région se souviennent sûrement du Club des raquetteurs qui était très populaire dans le temps et qui attirait de nombreux amateurs de la région et de l’extérieur surtout durant le fameux traditionnel carnaval d’hiver de Maniwaki au cours duquel était présentée la fameuse course internationale de chiens de trait.
Dans l’histoire
Les premières raquettes à neige auraient vulejourilya4000ans.Lapratiquedela raquette a donné naissance au ski de fond
dans le nord de l’Europe et à la raquette en babiche typiquement nord-américaine.
Les vieilles histoires sur la raquette ont inspiré Jake Thamm et Tamara Laug, cofondateurs de Crescent Moon Snowshoes à Boulder au Colorado qui ont relevé le défi de créer une raquette à partir d’un matériau inédit dans le domaine : le polymère, qui permet de concevoir une raquette à la fois légère, durable et abordable. Les premiers exemplaires sont déjà sur le marché et les critiques sont très élogieuses envers ce nouveau produit qui révolutionne le monde de la raquette sur la scène internationale.
Des modèles adaptés
Avant d’acheter une paire de raquettes, il faut retenir le détail le plus important : votre poids. Ça déterminera la taille idéale de vos futures raquettes, mais ce n’est pas le
seul facteur à considérer non plus : certains modèles doivent convenir à des poids variant de 150 à 250 livres, mais renfonceront plus facilement dans la neige poudreuse si le poids est plus élevé. Ce qui fait, qu’en plus du poids, il faut tenir compte de la longueur de l’enjambée, ce qui explique pourquoi les raquettes sont souvent vendues en version pour hommes, ayant une plus longue enjambée et pour femmes, au pas plus rapprochés.
Et il y a des nouveautés sur le marché qui se démarquent nettement : le modèle Crescent Moon Eva à 210 $; la TSL Symbioz Elite à 330 $; La MSR Evo Ascent et la Faber S-Line à 200 $; la Tubbs Mountaineer à 300 $ et finalement, la Kahtoola NanoSpikes à 54 $.
Il semble bien que ces nouveaux modèles créés au goût du jour ont un impact sur la
du Québec. Les immigrants ayant obtenu au moins un DEP affichent aussi un taux d’emploi de 4,0 points de pourcentage de plus que celui des immigrants de l’ensemble du Québec.
Le marché du travail
En général, la situation sur le marché du travail s’améliore avec la scolarité. Cependant, la situation est légèrement différente pour la population immigrante de l’Outaouais. En effet, les immigrants titulaires d’un DEP ont dans la région un taux d’emploi supérieur à celui de l’ensemble de la population régionale du même niveau de scolarité. Fait à noter, ce diplôme favorise moins les immigrantes, puisqu’elles
montée en flèche de la pratique du sport de la raquette qui est un équipement prisé par les chasseurs, trappeurs et travailleurs forestiers.
Il se pourrait bien que cette vague soudaine de popularité de la raquette atteigne également la Vallée-de-la- Gatineau au point où un club régional soit formé.
affichent un taux d’emploi très semblable à celui de l’ensemble de la population du même niveau de scolarité. Par ailleurs, des études plus avancées n’avantagent pas autant la situation en emploi des immigrantes qu’elles ne le font pour la population en général. Ainsi, le taux d’emploi des immigrantes atteint son maximum chez les titulaires d’un DEP. De même, le taux d’emploi des immigrantes diplômées universitaires, est inférieur à celui des immigrants qui ont obtenu un diplôme d’études collégiales (DEC).
Source : Portrait statistique : femmes- hommes du Conseil du statut de la femme du Québec
représente 18,0 % des familles en Outaouais, ce qui est également plus élevé que pour l’ensemble du Québec (16,6 %). Par ailleurs, un peu moins de femmes sont à la tête d’une famille monoparentale dans la région que dans l’ensemble du Québec, soit 74,9 % contre 76,0 %. À noter que lorsqu’un couple séparé partage la garde des enfants à parité, celui où l’enfant est présent lors du recensement sera considéré comme monoparental et l’autre, sans enfant, s’il n’en n’a pas d’autres. Le questionnaire de recensement ne permet pas d’établir la proportion exacte de familles monoparentales qui se trouvent dans cette situation. Il ne permet pas non plus de connaître le nombre de parents dont ce n’est pas le tour de garde.
Source : Outaouais : Portrait statistique femmes-hommes
 La scolarité et la situation d’emploi
LA GATINEAU - Le taux d’emploi des femmes non diplômées en Outaouais est de 41,0 % tandis que celui des hommes atteint 52,9 %. Toutefois, le taux d’emploi de ces femmes s’avère supérieur à celui des femmes de l’ensemble du Québec (38,3 %).
En Outaouais la différence du taux d’emploi entre les hommes et les femmes s’atténue plus fortement que dans l’ensemble du Québec avec l’obtention d’un DEP » Par ailleurs, le taux d’emploi des diplômées universitaires de la région (84,4 5) demeure inférieur à celui de leurs homologues masculins (86,3 %).
Le jeu des sexes
L’écart selon le sexe pour ce qui est du
taux d’emploi de la population immigrante est considérable. Comme c’est le cas pour l’ensemble de la population, les immigrantes sans diplôme affichent le taux d’emploi le plus faible (35, %). Ce groupe obtient la plus forte différence de taux d’emploi par rapport aux hommes, soit 17,5 points de pourcentage de moins.
Par contre, la population immigrante de l’Outaouais laisse voir de meilleurs résultats sur le marché du travail que celle de l’ensemble du Québec. Le taux d’emploi des immigrantes de la région ayant au moins un diplôme d’études secondaires (DES) se situe à environ 6,0 points de pourcentage de plus que celui des immigrantes de l’ensemble
LA COMPOSITION DES MÉNAGES
 Plus de couples mariés en Outaouais
LA GATINEAU - C’est en Outaouais qu’on trouve la plus forte proportion de couples mariés que dans l’ensemble du Québec soit 65 % comparativement à 62,2 %.
C’est le troisième taux en importance au Québec, mais il reste loin des taux des
QUÉBEC VACANCES
régions de Montréal ( 72,7 %) et de Laval (73,6 %), eux-mêmes de beaucoup inférieurs à la moyenne canadienne (80,1 %).
Le pourcentage de couples mariés en Outaouais est plus élevé que la moyenne québécoise pour l’ensemble des situations
familiales, c’est-à-dire avec ou sans enfants. On y observe la plus grande proportion de couples mariés chez les couples sans enfants (66,0 %), comme cela se produit au Québec (64,1 %). Enfin, on compte moins de couples mariés parmi ceux qui ont des enfants de 65 ans et moins, tant au Québec (45,1 %) que parmi celles qui ont des enfants d’âge préscolaire (18 %) en comparaison de 17 %.
Les familles avec enfants à la maison
La proportion de familles avec enfants est aussi plus élevée en Outaouais que dans l’ensemble du Québec, tant parmi les familles avec des enfants mineurs (42,6 %, comparativement à 40,2 %) que parmi celles qui ont des enfants d’âge préscolaire (18% en comparaison de 17,0 %).
La proportion de familles monoparentales
 Un beau menu pour 2018
LA GATINEAU - Le portail Quebecvacances.com vous propose de partir l’année du bon pied en prenant la résolution de faire une nouvelle activité par mois. Seul, en famille ou en couple, les idées et les activités ne manquent pas.
Dans le train-train quotidien, c’est l’addition des petits gestes qui fait une réelle différence. Les «j’aurais donc dû» doivent servir de catalyseur de motivation. En 2018, il faut pouvoir dire «j’ai fait» !
Ainsi, en janvier on peut faire du ski alpin. Il y a des pentes partout au Québec. En février, il faut pêcher sur la glace et les lacs foisonnent dans la Vallée-de-la- Gatineau. En mars, on suggère le traîneau à chiens. Plusieurs mushers de la Vallée- de-la-Gatineau sont disponibles pour les aventures entre amis. En avril, pourquoi ne pas faire de l’équitation. Là aussi, l’expertise est présente ici. En mai, pourquoi ne pas compléter un parcours
aérien.Renseignez-vousauprèsdelaRégie intermunicipale de l’aéroport de Maniwaki (RIAM). En juin, pourquoi ne pas descendre une rivière en kayak. En juillet, le premier trou d’un coup vous attend sur votre terrain de golf préféré et il n’en manque pas dans la Vallée-de-la-Gatineau. En août, vous pourriez traverser un canyon en via ferrata. Laissez votre crainte des hauteurs à la maison et faites l’expérience de la via ferrata, une activité entre la randonnée et l’escalade. Un vol en hélicoptère est au menu en septembre. En octobre, peut-être qu’une course en karting ferait votre affaire. En novembre, vous devez vous offrir un spa nordique.
Après une année 2018 remplie de défis relevés, vous envisagez déjà vos résolutions pour 2019. Pour un avant-goût des moments mémorables à venir, apprenez à piloter un avion chez AéroSim Expérience. Vous avez donc l’embarras du choix.
 FONDATION QUÉBÉCOISE DU CANCER Un déjeuner aux crêpes à Aumond
 AUMOND - C’est le dimanche 14 janvier prochain qu’aura lieu, à la salle municipale d’Aumond, un déjeuner aux crêpes au profit de la Fondation québécoise du cancer pour le programme «Soutien au quotidien».
Le président d’honneur de ce déjeuner est le journaliste bien connu Michel Riel. Le déjeuner débute à 9h et se prolonge jusqu’à 13h. Le coût d’entrée est de 10 $
par adulte et 5 $ pour les jeunes de 6 à 12 ans et c’est gratuit pour les 5 ans et moins. Le menu comprend crêpes, grilled cheeze, fèves au lard, salade de fruits, thé, café ou jus.
Pour plus d’informations, veuillez contacter les membres du comité organisateur, Johanne Lyrette, 819-449- 1123, Line Piché, 819-215-0650 et Lise Michaud, 819-449-4344.
















































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