Page 12 - La Gatineau 11 janvier 2018
P. 12

12 11 janvier 2018 La Gatineau
LA SAISON DE SKI EST BIEN LANCÉE
Les fêtes n’ont pas été un cadeau
  LA GATINEAU - Les stations de ski du Québec confirment que malgré la présence de conditions de ski exceptionnelles pour le temps des fêtes, le froid mordant qui a sévi à travers le Québec a fait fondre l’achalandage au profit d’activités intérieures.
La période des fêtes, qui représente en moyenne 20 % de la saison de ski pour les stations, s’annonce plutôt décevante, mais laisse place à un optimisme élevé. Les précipitations de neige prévues au cours des prochains jours et le domaine skiable remarquable présentement offert à la clientèle dans les stations de ski du Québec laissent entrevoir positivement les derniers jours de la période des fêtes ainsi que le reste de la saison.
Un retour sur l’hiver dernier
La fréquentation des stations de ski avait
bondi de 15,6 % avec un total de 6 millions de jours-ski l’an dernier, le meilleur résultat des trois dernières années. Seulement pour la période des fêtes, la croissance avait atteint 70 % en 2016. Selon les données préliminaires recueillies par l’Association des stations de ski du Québec (ASSQ ), les prévisions d’achalandage prévoient un retour sous la barre du million de visites pour cette période en 2017, un résultat se situant près de la moyenne des trois dernières années.
Des conditions remarquables
L’ensemble des régions a reçu une quantité de neige importante avant Noël et comme les précipitations de neige devraient se poursuivre dans plusieurs régions, plusieurs stations ont pu ouvrir plus tôt qu’à l’habitude et dans plusieurs cas, à 100 % du domaine skiable. Il est possible de constater déjà qu’avec la neige reçue dans les derniers
jours et les températures plus clémentes, de nombreux skieurs et planchistes sont de retour sur les pentes de ski du Québec.
L’industrie du ski est optimiste face au
mois de janvier et février, soit la période qui représente la plus grande portion de l’achalandage avec 42,5 % de la part du gâteau.
 Le drapeau du Québec a 70 ans
La famille et l’emploi
LA GATINEAU - Une campagne publicitaire a été lancée sous le thème «C’est une chance d’être Québécois» afin de souligner le 70e anniversaire du drapeau du Québec le 21 janvier prochain.
Impératif français est impliqué dans cette campagne. L’important, c’est d’en parler. L’organisme espère que cette campagne
publicitaireinsuffleraunsentimentdefierté afin de créer et de développer une société, une vision, une culture, riches et différentes en Amérique et partout dans le monde.
Pour plus de détails sur cette campagne, il vous est loisible de joindre M. Jean-Paul Perreault, président d’Impératif français au 819-684-8460.
LAGATINEAU-EnOutaouais,selonles données sur le marché du travail et la responsabilité familiale, les femmes de 25 à 54 ans travaillent davantage (82,1 %) que dans l’ensemble du Québec (78,8 %).
Lorsqu’elles sont en couple et sans enfant, elles sont plus favorisées que leurs homologues québécoises, leur taux d’emploi atteignant alors 85,5 % alors qu’il se situe à 82,2 % au Québec. L’écart entre les Outaouaises et les Québécoises s’accentue lorsqu’elles sont en couple et ont des enfants, surtout si les enfants ont moins de 6 ans. En effet, le taux d’emploi des femmes de la région dans cette situation atteint 80,9 % tandis qu’il est de 75,1 % pour les Québécoises. Ce taux d’emploi se révèle toutefois bien inférieur à celui des pères en couples de la région, lesquels ne voient pratiquement pas leur taux d’emploi se modifier selon l’âge des enfants (plus de 90 %).
Tout comme on l’observe pour l’ensemble du Québec, le taux d’emploi des femmes en
situation monoparentale est lus faible en Outaouais que celui des mères qui vivent en couple, surtout lorsque les enfants sont d’âge préscolaire.
En ce qui concerne leur taux d’emploi, ces Outaouaises affichent un taux de 1,7 point de pourcentage de plus que celui de l’ensemble du Québec, alors que les mères outaouaises qui vivent en couple bénéficient d’un taux d’emploi de 5,8 points de pourcentage de plus. Contrairement à ce qui se produit chez les Outaouaises, le taux d’emploi des Outaouais en situation monoparentale, ayant un un ou encore des enfants de moins de 15 ans est un peu plus élevé comparativement à ceux qui sont en couple (91,4 % contre 90,4 %). Ainsi, en situation de monoparentalité avec des enfants d’âge préscolaire, l’écart du taux d’emploi entre les hommes et les femmes de la région atteint 23,4 % points de pourcentage.
Source : Portrait statistique : femmes-hommes du Conseil québécois du statut de la femme
  LA DÉPENDANCE AUX JEUX VIDÉO Une maladie reconnue par l’OMS
 LA GATINEAU - – Le «trouble du jeux vidéo» va être reconnu prochainement comme une maladie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé dernièrement, à Genève, un porte-parole de l’agence de l’ONU (Organisation des Nations Unies).
Les risques de dépendance liés à ce «trouble» vont être ajoutés à la 11e liste de la Classification internationale des maladies (CIM), qui sera publiée en juin prochain. Cette liste, dressée par l’OMS, est le résultat de l’analyse d’experts de la santé dans le monde entier.
Le trouble du jeu vidéo
La définition courante du «trouble du jeu vidéo» (Gaming Disorder) est «un comportement lié aux jeux vidéos sur internet ou hors ligne, qui se caractérise par une perte de contrôle sur le jeu, une priorité croissante accordée au jeu par rapport à d’autres activités, au point qu’il prenne le pas sur d’autres centres d’intérêt», notent les experts.
Parmi les autres symptômes figurent «la poursuite et l’augmentation de l’activité de jeu
malgré l’apparition de conséquences négatives.» Selon les experts de l’OMS, un individu doit montrer une dépendance anormale au jeu pendant au moins un an avait d’être diagnostiqué comme souffrant de ce trouble, qui a va être classé comme «comportement addictif».
Il y a des gens qui appellent à l’aide selon l’OMS en notant que la reconnaissance formelle de leur condition contribuera à déclencher de nouvelles recherches et de nouvelles ressources pour combattre le problème.
Source : Agence France-Presse
    
































































   10   11   12   13   14