Page 12 - La Gatineau 15 février 2018
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12 15 février 2018 La Gatineau
DÉJEUNER AU PROFIT DE LA COLOC DE DENHOLM
Plus de 75 personnes réunies
SYLVIE DEJOUY
sdejouy@lagatineau.com
DENHOLM - Plus de 75 personnes ont participé dimanche à la première édition du déjeuner du maire. La population a
répondu à l’invitation du maire Gaétan Guindon et des membres de son conseil municipal.
Parmi les personnes présentes, des élu(e)s ont notamment pris part à ce déjeuner, dont le maire de Lac Sainte- Marie Gary Lachapelle, la préfète de la
MRC Vallée-de-la- Gatineau Chantal Lamarche et le maire de Bowman Pierre Labonté.
Le but de cette rencontre était d’amasser des fonds au profit de la Coloc (Corporation des loisirs et de la culture de Denholm), responsable de nombreuses activités dans la municipalité.
Gaétan Guindon tient à remercier «tous les participants et la formidable équipe de bénévoles qui ont mis leur cœur et leur temps dans
▲ C’est grâce à un groupe de bénévoles si cette activité a pu être organisée.
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l’organisation de ce déjeuner. Merci aux élus de la municipalité et d’autres municipalités d’être venus à cet
événement. Enfin, merci à la préfète de la MRCVG, Chantal Lamarche, et son conjoint pour cette belle visite».
▶ Le maire de Denholm, Gaétan Guindon, en compagnie du maire de Lac Sainte-Marie, Gary Lachapelle, et de la préfète de la MRC, Chantal Lamarche.
AMÉLIE RIVET MASSOTHÉRAPEUTE Elle succède à Anik Hamel
MANIWAKI - Anik Hamel, qui a décidé de se lancer dans un nouveau projet, a trouvé une successeuse pour reprendre son commerce du 45 de la rue Principale Nord : Amélie Rivet, massothérapeute.
La jeune femme est originaire de Déléage. Après le secondaire, elle est allée à Gatineau pour étudier en massothérapie, herboristerie, aromathérapie, ainsi que lancement d’entreprise. «Par la suite, je me suis spécialisée en orthothérapie, explique- t-elle. Ça touche plus au côté clinique que SPA. Ça concerne tout ce qui est mal de dos, tendinites, bursites, lombalgie, etc.»
Depuis quelques années, Amélie Rivet est travailleuse autonome. «J’ai eu un bureau à Gatineau pendant mes études, précise la jeune femme. Puis j’ai décidé de
revenir dans la région. J’ai travaillé au Lounge Institut, ça allait faire trois ans au mois de mai. Dernièrement, j’ai décidé de me lancer à mon compte.»
Amélie Rivet a acheté la bâtisse qu’elle entend rénover aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Elle offre des services de «massothérapie et orthothérapie. Je continue les services de bronzage et sauna infrarouge. Je vais peut-être me lancer aussi dans la pressothérapie.»
Les horaires d’ouverture sont de 9h30 à 17h du lundi au vendredi mais pourront être ajustés selon la demande. Renseignements au 819-431-2098 (numéro qui changera dans les prochaines semaines) ou sur la page Facebook Amélie Rivet massothérapeute.
▲ Amélie Rivet offre ses services de massothérapie et orthothérapie au 45 de la rue Principale Nord.
BOUCHERIE ROCK LAFRENIÈRE Bientôt la location de vélos
▲ Rock Lafrenière à côté de la nouvelle affiche qu’il a faite poser sur son commerce.
SYLVIE DEJOUY
sdejouy@lagatineau.com
MESSINES - Depuis l’asphaltage de la piste cyclable, Rock Lafrenière, propriétaire de la boucherie située au cœur du village de Messines, a constaté une réelle hausse du nombre de personnes qui en profitent. Alors que la Véloroute des draveurs passe juste à côté de son commerce, il a eu l’idée de proposer à partir du printemps prochain la location de vélos.
«J’avais déjà commencé un peu l’an passé mais la piste asphaltée n’ été accessible qu’au milieu de la saison, explique Rock Lafrenière. Cette fois, on va commencer plus de bonne heure. On a eu beaucoup de demandes. Je vais acheter une vingtaine de vélos et aussi des patins à roues alignées, des casques, peut-être des kayaks.»
Rock Lafrenière avait déjà proposé la location de vélos il y a une quinzaine d’années, quand la piste cyclable a été ouverte.
«Je m’étais affilié avec un monsieur de Maniwaki qui vendait des vélos, explique-t-il. Il en avait mis une quinzaine à mon commerce. Mais la piste s’est détériorée et l’achalandage a baissé. Maintenant, vu que c’est asphalté, il y a plus de monde qui veulent essayer la piste cyclable. Certains n’ont pas de vélo et ne veulent pas en acheter. Aussi, ça pourra servir pour des gens qui ont de la visite, des campeurs.»
Rock Lafrenière fait partie des commerçants de la région pour qui le tronçon asphalté, de Messines à Gracefield, est très bénéfique. Il en profite pour élargir son offre de services, avec également l’aménagement d’une terrasse extérieure où les clients pourront profiter du beau temps en mangeant leur repas.
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